
Achat de Cannabis légal à Lausanne, Nyon
Si la marijuana était humaine, nous serions horrifiés de penser au nombre de mythes qui entourent son nom brillant. Mais une fois que l’on y regarde de plus près et que l’on en sait plus sur ce que sont le CBD et le THC, l’effrayante « bête de cannabis » se transforme en un animal de compagnie gérable et même utile que les sociétés progressistes ont depuis longtemps pris en main et utilisé pour le bien. Une Boutique en ligne des meilleures graines de cannabis en Suisse et du Pollen de CBD propose de mordre ce sujet sans fond des avantages et des inconvénients de la consommation de marijuana et d’apprendre ce qu’est le cannabidiol, le tétrahydrocannabinol et autres « gros mots ».
Pourquoi les gens sont tombés amoureux du cannabis
Les propriétés thérapeutiques du cannabis sont connues de l’humanité depuis des milliers d’années. Au début, personne ne pensait vraiment à la composition chimique de la plante, mais avec le développement de la science, on a commencé à parler des 400 substances contenues dans le cannabis. Les scientifiques d’aujourd’hui en savent déjà beaucoup plus sur le THC et le Pollen de CBD, car leurs mécanismes d’action ont été étudiés de manière plus approfondie. Sans surprise, ce sont ces composés qui ont les effets les plus notables sur l’organisme.
THC et CBD – ce que c’est et ce qu’ils affectent
Le cannabis contient donc des substances du groupe des cannabinoïdes, à savoir le tétrahydrocannabinol (THC ou THC) et le cannabidiol (CBD ou CBD). Il est intéressant de noter qu’ils ont tous deux la même structure moléculaire, mais que la disposition différente des atomes dans la molécule entraîne des effets différents. C’est le THC qui a l’effet psychoactif le plus important, affectant le comportement, la cognition et la perception. Le CBD est responsable des effets non psychoactifs.
Qu’est-ce que le tétrahydrocannabinol du Pollen de CBD?
Le THC est le principal ingrédient physiquement actif de la marijuana. Il affecte directement les récepteurs CB1 du cerveau et produit la sensation d’euphorie qui a fait du cannabis le point central des doux rêves de nombreux Rastamaniens.
Mais comment savoir si la marijuana contient du THC ?
Pour ce faire, il existe des tests spéciaux que l’on retrouve souvent non seulement dans les mains des adeptes de la culture rasta, mais aussi dans celles des cultivateurs avancés. Ils sont vendus dans de nombreux magasins de culture et peuvent détecter la teneur en THC des herbes, huiles et autres produits contenant des cannabinoïdes.
Qu’est-ce que le cannabidiol (CBD) dans la marijuana ?
Cette substance a longtemps été dans l’ombre du tétrahydrocannabinol, plus connu. Mais les scientifiques ont appris à exploiter le pouvoir du CBD pour le combiner au THC afin d’obtenir des effets accrus de la drogue sur le corps tout en réduisant les effets « euphoriques ». L’utilisation de la marijuana cultivée à partir de souches riches en Pollen de CBD a permis de soulager la douleur, de traiter les crises d’épilepsie et des études récentes montrent même qu’elle peut guérir le cancer du sein. Le cannabidiol sauve plus de 250 états pathologiques. Pour la plante elle-même, la présence de CBD est bénéfique car elle est à la fois antimicrobienne et antioxydante.
Qui peut et qui ne peut pas consommer de la marijuana ?
Alors comment savoir si la consommation de marijuana est bonne ou mauvaise pour le corps ? Les médecins distinguent deux groupes à risque pour lesquels fumer de la marijuana a des conséquences négatives :
Les personnes âgées de moins de 16 ans.
Le cannabis est le plus actif dans la substance blanche lorsqu’il est consommé. Il est responsable des processus de communication, d’apprentissage et de mémoire, et la consommation de cannabis pendant l’enfance peut nuire au développement harmonieux de ces processus. Après environ 18 ou 20 ans, le risque est annulé.
Les personnes dont les proches ont été diagnostiqués comme souffrant de graves troubles paranoïaques. Toutefois, il faut savoir que dans le cas de la marijuana médicale, un médecin peut en prescrire l’usage, malgré la présence d’antécédents de prédisposition du patient à la maladie mentale. En effet, les avantages réels du soulagement du syndrome douloureux sur le moment l’emportent souvent sur le risque hypothétique d’un trouble qui ne se manifestera peut-être pas à l’avenir.
Contrairement à d’autres drogues, la consommation de cannabis ne présente aucun risque d’overdose, ne crée pas de dépendance et, même à long terme, n’entraîne pas de symptômes de sevrage potentiellement mortels. Tout au plus, même le cannabis à forte puissance peut entraîner une irritabilité et des troubles du sommeil, qui disparaissent après une semaine ou deux. En pratique, le sevrage du cannabis est plus facile que le sevrage du sucre, auquel doit se soumettre une fois pour toutes toute personne qui décide de renoncer aux sucreries et aux crêpes. Nous n’appelons pas à l’automédication, ni à la culture ou au tabagisme de substances illégales dans les pays où cela est puni par la loi. Mais même dans une société remplie de restrictions, chacun a le droit de s’informer, de connaître les découvertes scientifiques et les développements médicaux, et pas seulement ce que les politiciens lui dictent sur le Pollen de CBD Lausanne. Voir https://www.vente-cannabis-cbd.ch/vaud/cbd-lausanne/ pour en savoir plus !